Les réseaux sociaux sont-ils vraiment devenus un nouveau mode de recrutement pour les entreprises ? Voilà un peu plus d'un an que Konica Minolta s'est lancé dans l'aventure. "Ce nouveau levier de sourcing commence à faire ses preuves avec de premières embauches à la clé", assure le spécialiste de l'image. L'entreprise, qui prévoit 250 embauches d'ingénieurs commerciaux cette année, grâce au rachat de sa filiale IT, a du mal à trouver chaussure à son pied malgré les dizaines de milliers de CV reçus par an.
Plus diplômés, mieux payés, les commerciaux renâclent ces dernières années à bouger tandis que les entreprises, pressées par la crise, cherchent la perle rare, selon Nicolas Massy, président de l'association de Paris du réseau Dirigeants commerciaux de France. Une difficulté contournable grâce aux réseaux sociaux susceptibles de "présenter des profils qui ne sont pas visibles dans les canaux de recrutement traditionnels", veut croire l'entreprise – par exemple, des personnes en poste qui n'auraient pas forcément eu l'idée de postuler chez Minolta.
Comment optimiser sa récolte de la taxe d’apprentissage ? Comment améliorer l’insertion professionnelle de ses jeunes diplômés ? De quelle manière établir des partenariats avec des PME ? La réponse est dans Interface, la nouvelle lettre bimensuelle qui facilite les relations entre l’enseignement supérieur et le monde économique.
Lancée par l’Etudiant-EducPros et l’Entreprise, Interface s’adresse aux professionnels des relations écoles-universités-entreprises (directeurs d’établissements, responsables des relations entreprises, BAIP, mais aussi campus managers, recruteurs, RH…).
Dans chaque numéro, huit pages de conseils, d’analyses et de bonnes pratiques mais aussi toute l’actualité du secteur, les manifestations et les nominations qui comptent.
Interface est disponible sur abonnement