Les étudiants en médecine l'avaient réclamé pour se rassurer. Le test supplémentaire aux ECNi (Épreuves classantes nationales informatisées), réduit à une demi-journée et facultatif, n'aura pas été de trop. En décembre 2015, le premier essai grandeur nature avait tourné au fiasco.
Pendant deux mois, le CNG (Centre national de gestion), son organisateur, a apporté des modifications au système. Et le résultat est là. Vendredi 5 février 2016, aucun bug majeur n'a été signalé, mais des imperfections doivent être encore corrigées.
Peut encore mieux faire...
À 13 h 30, les étudiants ont pourtant retenu leur souffle. La première épreuve, celle des 40 questions isolées, a commencé avec du retard à cause de problèmes de connexion.
#ECNiTest Retard à cause de problèmes de connexion à Besançon
— Thomas Carabin (@Thomas_LyonEst) 5 Février 2016
Puis de petits défauts ont été signalés. Par exemple, la question des images. Cette fois-ci, si les étudiants pouvaient zoomer, le résultat laissait à désirer.
Encore des améliorations à apporter en vue des vraies #ECNi @ANEMF #ECNiTest #ECNi2016 https://t.co/ojmANHdvJZ
— Robin Jouan (@Robin_ANEMF) 5 Février 2016
Quant au taux de participation nationale – entre 66% et 77% des candidats selon les épreuves, issus des 34 facultés du territoire, ont testé ce nouvel outil, d'après le CNG – il a a été satisfaisant. Un bon point, avant la dernière grande répétition générale, prévue début mars 2016.