Les universités bordelaises au bord de la saturation
Les trois universités de Bordeaux et Pau comptent 1.800 étudiants supplémentaires en cette rentrée 2015. Les filières langues et économie sont particulièrement touchées. Même les limites des capacités d'accueil ont été revues à la hausse.
À l’université de Lorraine, les sciences humaines font le plein
Psycho, géographie ou encore philo… Le collegium sciences humaines et sociales de l’université de Lorraine semble le plus touché par la hausse du nombre d'étudiants en première année de licence, alors que les SHS ne font pas partie des filières traditionnellement en sureffectif. Même en L1 d'arts plastiques, il faut pousser les murs.
À l’université Toulouse 3, les étudiants en Staps en mal d'équipements
À la faculté des sciences du sport et du mouvement humain de Toulouse 3 – Paul-Sabatier, l’attractivité de la filière se heurte à une érosion continue de ses moyens. Au manque d'enseignants s'ajoute une dégradation des équipements. Les conditions d’études en pâtissent, malgré le tirage au sort qui limite l’afflux d’étudiants.
À l'université Paris Descartes, un boom d'étudiants "surprise"
À l’université Paris 5, d'année en année, la rentrée est toujours plus tendue. Car ce ne sont pas seulement les filières de médecine, de Staps ou de psychologie qui ont rempli leurs amphis à ras bord, mais aussi le droit et les maths. Une affluence non anticipée qui épuise les équipes.